Punie chp 2

Publié le par maitre F

Mlle E est maintenant seule dans la chambre. Elle se demande ce qu’elle fait la, dans cette position avilissante. Maitre F est sorti …. Ou tout au moins l’a-t-il dit. Que va-t-il se passer maintenant ?

Un bruit derrière elle, elle espère que s’est son maitre et non le personnel qui entre dans la pièce.  Elle sent une présence, la porte se referme, toujours pas un mot. Qui est la  à la regarder ?

Elle sent que l’on retire la baguette de son cul, une main caresse son anus et l’enduit d’une matière douce et un peu grasse, un doigt s’enfonce doucement dans son cul. Un deuxième le rejoint aussitôt et s’enfonce le plus profondément possible.

Elle a terriblement honte de se sentir à la merci de n’importe qui et en même temps elle en est très excitée. Son sexe en dégouline d’envie.

On lui attrape les mains et on la force à se lever, toujours dans le noir elle suit le mouvement.

On viens de lui passer des menottes et elle est allongée sur le lit, les bras tendus au dessus de sa tête.

Maintenant elle s’inquiète vraiment. Elle se retrouve, les yeux bandés, les mains liées par des menottes à la tête du lit, à demi dévêtue et sans la moindre idée de qui se trouve avec elle dans la pièce.

Une main lui caresse doucement le sexe, ouvre délicatement ses lèvres et un doigt s’introduit dans sa vulve. Cette même main enduit maintenant tout son sexe avec un gel lubrifiant. Quelque chose est présenté à l’orée de son sexe ….. puis doucement s’introduit en elle. Un sexe ? non c’est un godemichet, quelqu’un l’enfonce au fond d’elle doucement….. une fois qu’il est tout au fond d’elle …. Plus rien, plus un bruit …. La personne qui était auprès d’elle a quitté la pièce.

D’un coup, le god se met à vibrer seul, quelqu’un a une télécommande et s’amuse avec…. Elle n’est donc pas seule, on l’observe …. Et elle sent le plaisir monter, ses joue sont brulantes, son sexe en feu, ce « truc » va la faire jouir …. Et tout s’arrête …. Juste avant qu’elle ne jouisse …. Quelle horreur.

En fait je n’ai pas quitté la pièce. Je l’ai fait patienter, sans un bruit, je l’ai regardé, détaillé, scruté et j’ai attendu ses réactions. Puis je l’ai attaché et je lui ai enfoncé ce nouveau jouet tout au fond d’elle. Elle est ainsi à ma merci, je choisi quand elle jouie, je choisi quand je lui donne du plaisir.

Je vais attendre encore un peu, puis je recommencerai, encore et encore, jusqu'à ce qu’elle n’en puisse plus.

Je joue depuis plus d’une heure avec la télécommande et avec son plaisir. Je l’ amène au bord de l’orgasme, puis arrête juste avant  qu’elle ne prenne son pied. Ses bras menottés au dessus de sa tête doivent commencer à lui faire mal. Elle se cambre au maximum à chaque nouvelle impulsion, s’appuie sur la pointe de ses pieds et cherche à atteindre le plaisir, sans jamais y parvenir.

Je m’approche d’elle, je finis de lui enlever son body de dentelle noire, elle n’as plus que ses bas et ses talons. Elle se tortille sur le lit, je la retourne sans ménagement et la fait mettre à genou.

Le godemiché toujours enfoncé au fond de son sexe, je caresse ses fesses, son petit trou et d’un coup, sans prévenir et sans douceur j’enfonce mon sexe tendu dans son cul.

Elle crie, autant de surprise que de douleur, car je me suis enfoncé tout au fond d’un coup. J’attrape le body laissé en boule sur le lit et lui enfonce dans la bouche de force, afin qu’elle se taise.

Je fais de nouveau fonctionner la télécommande et commence à lui labourer l’anus. Je la tiens au hanches et je sens les vibrations du god à travers la mince parois entre les deux orifices.

Elle jouie comme une folle, enfonçant sa tête dans les coussins, cherchant la pénétration la plus profonde possible, ses cris sont étouffés par le bâillon improvisé.

Je continu mais aller et retours dans son petit trou sans ménagement, bien serré au départ il est maintenant bien distendu et je jouie au fond d’elle inondant le fond de son cul de mon sperme.

Je sort de son cul, le « jouet » est toujours en fonction et elle se tortille dessus cherchant maintenant à lui échapper, mais je ne l’arrête pas, je sens qu’elle va jouir encore.

Je retire la boule de tissus de sa bouche et la remplace par ma queue que je veux qu’elle nettoie. Ce qu’elle fait immédiatement tout en jouissant de nouveau, cette fois ci c’est mon sexe qui l’empêche de crier.

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J’arrête l’engin et le lui retire doucement. Elle s’est effondré sur le lit. Des traces de spermes sur les fesses et la bouche, le corps repu de plaisir. Elle est terriblement belle, ne portant que ses bas, ses chaussures et ce bandeau sur les yeux, menottées au lit et ainsi abandonnée.

Je prend quelques clichés encore pour me souvenir et me rhabille.

Je détache ses menottes et quitte la pièce, sans un mot, en fermant la porte.

Publié dans libertinage

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